Scripts saison 3 V.F. |
|||
fanfr.com > scripts > saison3vf |
Script Saison 3 Episode 13 |
Générique |
Titre US : The One Where Monica and Richard Are Just Friends
Titre FR : Celui qui persiste et signe
Écrit par Wil Calhoun
Réalisé par Robby Benson
Transcrit par Eric Aasen
Traduit par Isabelle Juhasz
Fiche détaillée et photos - Titres Saison 3 - Résumé de l'épisode - Script en anglais
Script V.F. |
L’employé : 6 $.
Monica : Je l’ai prise hier soir. C’est 3 $.
L’employé : 20 h, c’est la limite. (Il regarde sa montre.) Et là, il est 20h02.
Monica : Vous avez trop de pouvoir. Vous allez devoir m’aider car je n’ai que 3 $.
Richard : (Il apparaît derrière Monica.) Je veux bien aider.
Monica : Mon Dieu ! Richard ! (Elle remarque que Richard n’a plus de moustache.) Ta lèvre est devenue chauve.
[Richard paye l’employé.]
Monica : Merci.
Richard : Tu as l’air en forme ! (Il la regarde de haut en bas.) Je t’assure. Tu...
Monica : Quoi ?
Richard : Tu as une culotte accrochée à la jambe.
Monica : J’ai sorti du linge du séchoir. C’est l’électricité statique. (Elle prend la culotte et la met dans son sac.) Ou Dieu savait que j’allais te voir et il a saisi l’opportunité.
Richard : Content de te voir.
Monica : Moi aussi.
Monica : (à Richard) Tu vois ce type, au rayon « Classique » ? Dès qu’on partira, il ira direct au rayon porno.
Richard : Il prendra Citizen Kane, Sueurs froides et Orgie mécanique.
[Après s’être regardé et avoir rit, Richard regarde Monica dans le blanc de l’œil.]
Richard : J’aime ça. Ça me manque.
Monica : A moi aussi.
Richard : On va manger un hamburger ?
Monica : C’est peut-être pas une bonne idée.
Richard : En toute amitié. Je te peloterai pas, promis.
Monica : Je pense que c’est trop tôt.
Richard : C’est pas trop tôt, j’ai déjeuné à 11 h.
Ross : Tu fais quoi ?
Chandler : Un chocolat froid. T’en veux ?
Ross : Non, merci. J’ai 29 ans.
Rachel : (Elle regarde sa montre.) Il faut que je file au boulot.
Ross : A quelle heure penses-tu finir ce soir ?
Rachel : Probablement très tard.
Ross : Oh non, pas encore.
Rachel : Je suis désolée. Je te propose un marché. Pour chaque soir où tu dors quand je rentre, je te réveillerai de la façon qui marchait si bien à l’époque.
Ross : Travaille aussi tard que tu veux, ça ne me dérange pas du tout.
Phoebe : (Elle entre, une paire de rollers à la main.) Salut !
Joey : (à Phoebe) Ca alors ! Depuis quand tu fais du roller ?
Phoebe : Depuis demain ! J’ai rencontré un mec craquant qui court, patine et nage. On a fait un échange. Il va m’apprendre des trucs sportifs.
Ross : Toi, tu fais quoi pour lui ?
Phoebe : Je laisse faire.
[Monica entre.]
Rachel : (à Monica) Tu es rentrée tard, hier soir.
Monica : J’ai rencontré Richard par hasard.
Rachel : Quand ?
Monica : Aux alentours de 20h02. On a parlé un moment et on est allé manger un innocent-burger.
Phoebe : Ça n’existe pas, les innocent-burgers.
Ross : Tu vas le revoir ?
Monica : Demain soir.
Rachel : Monica, qu’est-ce que tu fais ?
Chandler : Elle a passé 6 mois à s’en remettre maintenant elle fête ça en sortant avec lui.
Monica : Je ne compte pas sortir avec lui. Je vais lui apprendre à cuisiner des lasagnes pour un dîner.
Joey : Fais-en plus que prévu, on a toujours faim après l’amour.
Monica : On ne va pas coucher ensemble. Rien n’a changé. Il ne veut toujours pas d’enfants, moi j’en veux. Donc, on est simplement amis.
Ross : Des amis sans habits.
Rachel : Tu as des glaçons ?
Joey : Dans le congélateur. S’il n’y en a pas, c’est qu’on en a plus. Tu rentres du boulot ? Il est tard.
Rachel : Je sais. J’ai passé une super journée. Une réunion avec les gens de Calvin Klein. J’ai dit à ma chef que j’adorais et elle en a commandé plein. Et toi ?
Joey : Je me suis aperçu que je pouvais compter mes dents avec ma langue.
Rachel : (Elle tire un livre gelé du congélateur.) Pourquoi t’as mis le livre Shining au congélateur ?
Joey : Je le lisais hier soir et j’ai eu peur, alors...
Rachel : Tu es en sécurité si tu le mets là ?
Joey : Un peu plus. Quand je veux le lire je vérifie s’il y a de la place dans le congélo.
Rachel : Tu le relis souvent ?
Joey : Ça ne t’arrive pas de relire un bouquin ?
Rachel : Si, Les quatre filles du Dr March, un classique. Shining, c’est bien ?
Joey : Tu veux dire : qu’est-ce qui n’est pas bien dans Shining ? Et la réponse, c’est : « rien. » J’ai jamais rien lu de si effrayant, c’est sûrement mieux que ton « classique. »
Rachel : On verra. Je vais lire Shining. Toi, tu liras Les quatre filles du Dr March.
Joey : D’accord, ça marche. Dis-moi, ces filles, est-ce qu’elles sont petites ? Est-ce qu’elles sont épouvantablement petites ?
Phoebe : Je vous présente Robert. (à Robert) Tu as du rouge à lèvres, là.
Robert : Oh !
Phoebe : (à Ross et Chandler) C’est le mien. On s’est embrassés.
Chandler : (Il remarque que Robert porte un short.) Il fait pas un peu froid pour mettre un short ?
Robert : Je viens de Californie.
Chandler : C’est vrai que les gars de là-bas s’enflamment vite.
[Comme Robert se tourne pour faire des yeux à Phoebe, il met un pied sur la table devant Chandler et comme Chandler continue à regarder Robert, il remarque quelque chose d’effrayant et il se lève très soudainement.]
Chandler : Je suis debout. Je me suis levé. Vous prenez quelque chose ?
Phoebe : Un café.
Robert : Moi aussi.
Ross : Ca fera trois.
Chandler : Ross, viens avec moi.
Ross : (incrédule) D’accord. (Il arrive à coté de Chandler, au bar, ne pouvant être entendu par Robert et Phoebe.) Qu’est-ce que tu as ?
Chandler : Robert cache mal son jeu.
Ross : Tu crois qu’il est gay ?
Chandler : Son truc dépasse de son short.
Ross : Quoi ?
Chandler : Il montre sa bistouquette.
Ross : Tu es sûr ? Bouge pas. (Il marche vers le canapé et s’éclaircit la voix.) Désolé. Un café... Et...
Robert : Un café. On te l’écrit ?
Ross : C’est pas la peine.
[Ross se penche, pour être devant le short de Robert. Il remarque une chose et pouffe de rire. Il revient ensuite vers Chandler.]
Chandler : Alors ?
Ross : (frénétique) T’avais raison.
Chandler : Qu’est-ce qu’on fait ?
Ross : On va essayer de ne pas regarder cet endroit-là.
Chandler : Comme une éclipse ?
Richard : Si on me félicite sur ma recette, je dis quoi ?
Monica : Tu leur dis « Merci beaucoup » et tu m’achètes quelque chose de joli. (Elle s’approche du saladier avec des tomates fraîches.) On va mettre les mains dans le saladier et écraser les tomates.
Richard : (Il commence à écraser les tomates.) Quelle drôle de sensation.
Monica : Toucher les yeux des gens, c’est pas bizarre ?
Richard : Je les touche, mais j’ai appris à ne pas les écraser. (Il se rend compte que Monica ne malaxe pas les tomates.) C’est ma main.
Monica : Continue à écraser.
Richard : Les tomates sont écrasées, j’écrase les tomates...
Monica : Tu en as sur ta chemise. Mets de l’eau gazeuse dessus, ça partira tout de suite. (Elle commence à frotter son torse avec un chiffon mouillé d’eau gazeuse.) En principe, ça devrait... heu... marcher.
Richard : (Il remarque que Monica regarde en bas.) Quoi ?
Monica : Tu en as sur le pantalon.
Richard : Je vais le jeter.
Joey : (Il fait une pause dans sa lecture.) Ces filles du Docteur March !
Chandler : Elles te plaisent ?
Joey : Amy vient de brûler le manuscrit de Jo. Je sais pas s’il pourra lui pardonner.
Ross : Jo, c’est une fille. C’est le diminutif de Joséphine.
Joey : Mais Jo est amoureuse de Laurie. Ce serait une histoire entre filles ? C’est ce qui manque dans Shining.
Chandler : Laurie est un garçon.
Joey : Pas étonnant que Rachel ait relu le livre plusieurs fois. (Il reprend sa lecture.)
[Phoebe et Robert entrent.]
Phoebe & Robert : Salut !
Ross : C’était comment le basket ?
Phoebe : (Elle fait tourner un ballon de basket sur sa main.) Je sais tirer des paniers, provoquer des fautes et tirer à 23 points. (Elle passe la balle à Chandler.)
Chandler : (Il rattrape la balle.) A 3 points.
Phoebe : J’ai eu plus parce que je suis mignonne.
Robert : (à Phoebe) Où est le téléphone ? Je vais écouter mes messages.
Phoebe : Au fond. Tu veux une pièce ?
Robert : J’en ai toujours dans ma chaussette.
[Robert met sa chaussure sur l’accoudoir du canapé pour attraper sa pièce. Chandler à la même vision d’horreur que la dernière fois. Il se penche vers Joey pour lui montrer le « truc » de Robert.]
Joey : (Il repousse Chandler vers son côté du canapé.) Tu fais quoi, là ? Reste sur ton côté du... (Il remarque enfin la fameuse « chose » de Robert et lui adresse immédiatement la parole.) Bonjour ! Joey. On n’a pas été présentés.
Robert : Enchanté. Robert. (Il va téléphoner.)
[Ross, Joey et Chandler se mettent à rire.]
Phoebe : Quoi ? (Elle s’assoie entre Joey et Chandler.) Qu’est-ce qui vous prend ? Vous n’aimez pas Robert ? Pourquoi vous riez ?
Ross : T’in... quéquette donc pas. (Les garçons rigolent de plus belle.)
Phoebe : Mais arrêtez !
Chandler : Désolé... mais on dirait que Robert n’est pas aussi discret au niveau du short... qu’on pouvait l’espérer.
Phoebe : Qu’est-ce que tu veux dire ?
[Robert revient et s’assit sur le fauteuil.]
Joey : Robert, tu peux... me passer les biscuits ?
[Robert met son pied sur la table pour pouvoir atteindre les biscuits. Phoebe sursaute et couvre sa bouche quand elle voit...]
Monica : (au téléphone) Alors, les lasagnes ? ... C’est vrai ? Tu me dois donc trois jolis cadeaux... Moi aussi, j’ai pensé à toi. C’est dur, cette histoire de « platonomie. »... C’est un mot ! ... Je suis sûre que c’est mieux comme ça. On réagit intelligemment. (On frappe à la porte.) Oui, j’en suis sûre. (Elle ouvre la porte et Richard est là, avec son téléphone portable.)
Richard : Tu es vraiment sûre ?
Monica : Je te rappelle. (Elle l’attrape et l’embrasse passionnément. )
[Scène : Chambre de Monica. Monica et Richard sont sous les draps, après une rencontre entre « amis. »]
Monica : On peut être des amis qui couchent ensemble.
Richard : Bien sûr. Ce sera un truc qu’on fait... comme une partie de racquetball.
Monica : Ça me paraît intelligent et sain. (Elle lui caresse al poitrine.) Pour satisfaire ma curiosité, tu as d’autres partenaires de racquetball en ce moment ?
Richard : Seulement ton père. Avec lui, on joue vraiment au racquetball... Ma sœur m’a arrangé un rendez-vous avec sa voisine mardi prochain. Tu veux que je l’annule ?
Monica : Si tu l’annulais, ce serait à cause de moi. On est seulement amis. (Elle le frappe sur l’épaule, en signe d’amitié.)
Richard : C’est exact. (Il la frappe sur l’épaule.)
Phoebe : (à Robert) Ne t’assieds pas.
Robert : Prête ?
Phoebe : Tu parles ! D’abord, j’ai un cadeau pour toi. (Elle lui tend un sac.)
[Du sac, Robert retire un caleçon en fibre synthétique élastique.]
Chandler : Un short en stretch ! Y a rien de mieux ! Si j’étais toi, je le porterais tous les jours.
Robert : (à Phoebe) Merci. C’est vraiment très gentil. Mais, honnêtement, je ne crois pas que je pourrai le mettre. C’est beaucoup trop moulant. Je ne veux pas m’exhiber. Désolé.
Phoebe : C’est pas grave. Je m’en arrangerai...
[Robert et Phoebe sortent au moment où Joey entre.]
Joey : (à Ross et Chandler) Sacré Robert ! Comment ça va ?
Chandler : Bien.
Joey : (à Rachel, qui est entrain de travailler) Alors, Shining ?
Rachel : (Elle apparaît du fond du café.) Danny vient d’entrer dans la chambre 217.
Joey : Ce qui suit est excellent (à Ross et Chandler) avec le cadavre dans la baignoire...
Rachel : (Elle se couvre les oreilles.) Tu vas tout gâcher.
Joey : C’est bon, je vais parler en code. (à Ross et Chandler) Tu te souviens quand le gosse voit les 2 « bip » dans le couloir ? C’est génial. Tout « bip » et sans « bip » font « bip » avec un « bip bip. » Et la fin ! Jack veut les tuer avec un « bip » et ils lui échappent.
Rachel : J’en reviens pas que tu fasses ça.
Chandler : J’en reviens pas qu’elle ait déchiffré le code.
Rachel : Très bien. Laurie demande Jo en mariage qui refuse alors qu’elle est amoureuse de lui. A la fin, il épousera Amy.
Joey : Mais je faisais pas exprès. La chaudière explose, détruit l’hôtel et tue le père.
Rachel : Beth meurt.
Joey : (haletant et horrifié) Beth meurt ? C’est vrai ? Même si je continue à lire, Beth mourra ?
Chandler : Mais non, Beth ne meurt pas. N’est-ce pas, Rachel ?
Rachel : Quoi ?
Ross : Il veut savoir si tu démolis le seul livre qu’il aime sans Nicholson.
Rachel : Elle ne meurt pas.
Joey : Alors pourquoi tu l’as dit ?
Rachel : Parce que je voulais te faire de la peine.
Robert : (Il entre en courant.) Les voilà. J’ai perdu mes clés. (Il se penche pour ramasser ses clefs en tournant le dos à Rachel, Joey, Ross et Chandler, qui sont extrêmement choqués.) Je les ai retrouvées.
Rachel : Oh !
Monica : (à Rachel) J’ai passé une journée incroyable. J’ai fait des heures sup’ et en plus de ça, j’ai perdu un de mes faux seins dans un incendie de grill. (Elle lui montre sa fausse poitrine brûlée.) Pourquoi tu souris ?
Rachel : Ta journée peut quand même s’arranger.
[Monica entre dans sa chambre et voit Richard, allongé sur le lit, en smoking, attendant Monica, une rose entre les dents. Deux verres de vins sur la table, des pétales de roses répandus partout sur le lit et dans la chambre, des bougies allumées, une ambiance très romantique.]
Monica : J’adore cette idée « d’amis. »
Phoebe : Robert ne va pas tarder. Qui se charge de lui en parler ? Maintenant. A chaque fois, je me demande : « Il est sorti ? Il me fait signe ? »
Chandler : C’est impossible. On le connaît pas, on peut pas lui parler de son truc.
Ross : Il a raison. Même si c’est pour lui dire un truc flatteur.
Robert : (entre) Tu es prête ? On va sur un mur d’escalade. On s’observera.
Phoebe : Je t’observe très bien d’ici.
Robert : Pardon ?
Phoebe : Ecoute, Robert...
Ross : (à Chandler) On doit pas...
Chandler : Ah oui, il faut...
[Chandler et Ross s’en vont, dans l’arrière salle.]
Phoebe : (à Robert) Je pense que tu es vraiment génial.
Robert : C’est reparti. Pourquoi ça m’arrive tout le temps ? Est-ce que j’en mets plein la vue ? C’est de ma faute ou je suis qu’un con ?
Phoebe : Je ne sais pas quoi te dire.
Gunther : (Il arrive du bar pour parler à Robert.) Dites, c’est un endroit familial ici. Rangez l’instrument dans son étui.
[Robert se rend compte honteux que son instrument est sorti.]
Richard : (Il parle à la voisine de sa sœur en entrant dans l’appartement.) Ah bon ? Cet appart’ est très commun, il a des murs, des plafonds.
La voisine : Je voulais connaître chez toi. Fais-moi visiter.
Monica : (Après avoir écouter quelques instants derrière la porte.) Mon Dieu ! (Elle souffle les bougies, boit le plus de vin possible, elle se précipite vers la fenêtre, puis finit par se mettre sous les draps.)
Richard : Ici, c’est le salon.
La voisine : Très joli.
Richard : Voilà la cuisine.
La voisine : C’est très mignon. Tu me montres pas ta chambre ?
Richard : Ma chambre ? (Il ouvre la porte de sa chambre et voit le petit travail de Monica et ferme la porte.) Elle ressemble... typiquement... à une chambre.
La voisine : On est encore de l’autre côté de la porte. Je ne l’ai pas vue.
Richard : Mince. La prochaine fois. (Il baille et fait semblant d’avoir sommeil.) Merci pour cette charmante soirée. (Il l’accompagne dehors.)
Monica : C’est qui ?
Richard : Le rendez-vous dont je t’avais parlé. Elle a changé la date.
Monica : Elle te plaît ? Je te le demande en tant qu’amie, ça ne me pose aucun problème.
Richard : On dirait.
Monica : (Elle sort des draps.) Tu veux que je te dise ? En fait, ça ne va pas du tout. Comment ça pourrait aller ? Je t’ai entendu entrer avec elle. Elle a voulu voir ta chambre. (Elle boit un peu de vin.) Tu sais quoi ? Et si on était des amis... (Elle offre un verre de vin à Richard.) qui ne voient personne d’autre ?
Richard : Des amis exclusifs ?
Monica : Pourquoi pas ? (Richard se lève et s’assoie sur une chaise près du lit.) Cette semaine a été vraiment incroyable. Ce serait si atroce que ça ? (Monica commence à lui masser le dos.) On pourrait même être des amis... qui vivent ensemble ? Ou même un jour, des amis qui rassemblent tous leurs autres amis et se jurent amitié à jamais.
Richard : On est revenu au point de départ. Ma chérie, j’adorerais faire tout ça. Mais rien n’a changé.
Monica : C’est pas vrai. Tu n’as plus de moustache.
Richard : D’accord, une seule chose a changé. Nous voulons des choses différentes. On sait comment ça finira.
Monica : (Elle se lève) Tu sais quoi ? Je vais m’en aller tout de suite. Me remettre de notre séparation a été la pire expérience de ma vie. Je ne pourrais pas le refaire.
Richard : Moi non plus.
Monica : Une dernière partie de raquetball ? (Elle retire ses chaussures et entraîne Richard sur le lit.) Attention aux épines !
Richard : Aïe !
Joey : (au bord des larmes) Beth est très malade... Jo est près d’elle, mais elle ne pourra rien faire.
Rachel : (Elle s’assit auprès de Joey et le console comme une mère.) Tu veux mettre le livre dans le congélateur ?
Joey : Oui...
Rachel : D’accord.