Scripts saison 3 V.F. |
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Script Saison 3 Episode 20 |
Générique |
Titre US : The One With The Dollhouse
Titre FR : Celui qui courait deux lièvres
Écrit par Wil Calhoun
Réalisé par Terry Hughes
Transcrit par Eric Aasen
Traduit par Laura Cynober
Fiche détaillée et photos - Titres Saison 3 - Résumé de l'épisode - Script en anglais
Script V.F. |
Joey : Oui ! (à Chandler) Mince ! C’est comme ça, toute ta vie ?
Monica : T’as l’air fou d’elle !
Joey : Tu peux pas savoir. Sur scène, je peux l’embrasser, la toucher. Puis elle rentre avec le metteur en scène et ca m’arrache le coeur.
Phoebe : C’est chouette que t’éprouves ça !
Ross : (qui entre) Salut !
Tous : Salut !
Ross : Papa a appelé, ce matin. Tante Sylvia est morte.
Monica : Oui!! Oui! Oui, oui, oui!
Ross : Ça nous a tous fichu un coup.
Phoebe : J’ai loupé un truc ? La mort, j’aurais cru ça un peu triste.
Ross : Tante Sylvia n’était pas... quelqu’ un de gentil .
Monica : C’était une vieille garce grincheuse et cruelle ! (Ross la regarde) (à Ross) Mais sa mort me peine. Et la maison de poupées ?
Ross : Tu l’as !
Monica : J’ai la maison de poupées !
Phoebe : Une maison pour les poupées ! Cool ! Quand j’étais petite, j’avais un tonneau.
Joey : Comme maison de poupées ?
Phoebe : Non, juste un tonneau.
Monica : Si tu veux, tu pourras jouer avec.
Phoebe : C’est vrai ?!
Monica : Quand tu voudras. Enfant, je rêvais que de jouer avec. Mais on pouvait juste regarder. Pas jouer avec !
Chandler : Ma grand-mère me disait pareil .
Rachel : Salut Sophie !
Sophie : Salut Rachel !
Chandler : Salut.
Sophie : Salut.
Rachel : Merci, mais fallait pas me raccompagner !
Chandler : C’est tout naturel . (Il commence à regarder un peu partout)
Rachel : Tu sais que tu trouveras pas de lingerie fine, ici ?
Chandler : Je m’en rends compte.
Rachel : Le catalogue d’été. (lui tendant le catalogue)
Chandler : Voilà ! (lui arrachant des mains)
[Joanna, la patronne de Rachel, entre]
Joanna : Il me faut la facture Versace. (à Chandler) Bonjour! Vous bossez pas pour moi .
Rachel : (les présentant) Joanna, voici mon ami, Chandler Bing (à Chandler) Joanna.
Joanna : Bing ? Quel nom génial !
Chandler : En gaélique, ça veut dire : " C’est cuit ! " J’y vais. Enchanté.
Joanna : Moi aussi .
Rachel : Bye, Chandler.
Joanna : (à Rachel) Qu’est-ce qui cloche chez lui ?
Rachel : Rien, il fait tout le temps le barge. Je remarque même plus !
Joanna : Non, je veux dire... ll est marié ou avec quelqu’ un ?
Rachel : Il n’est ni marié ni avec personne.
Joanna : Oh, Rachel (pause) En fait, oublie ça.
Rachel : Je peux lui demander.
Joanna : Tu ferais ca ? Ou ça fait désespéré, du genre de ce que ferait Sophie ?
Sophie : Hum, je suis là.
Joanna : Je sais.
Monica : Regardez-moi ça ! Ohhhh ! Le papier peint est défraîchi, c’est rien. La moquette est mal fixée. Un parquet de chêne !
Phoebe : (qui entre) Salut !
Chandler : Salut !
Phoebe : Qu’est-ce que c’est beau !
Monica : Je sais !
Phoebe : Voilà, je suis venue jouer !
Monica : Ok.
Phoebe : J’ai apporté plein de trucs pour la maison. Matez un peu ! (elle sort un chien en céramique aussi haut que deux étages de la maison de poupée et le pose à coté)
Monica : C’est quoi ?
Phoebe : Toute maison doit avoir un chien.
Monica : Pas un qui peut pisser sur le toit !
Phoebe : ll est peut-être géant à cause des déchets radioactifs sous la maison.
Chandler : (tenant un mouchoir) Et ça, c’est au cas où la maison éternue ?
Phoebe : C’est le fantôme du grenier.
Monica : J’en veux pas !
Phoebe : Personne ne veut d’ un fantôme ! Mais t’en as un... car la maison est bâtie sur des terres sacrées indiennes !
Ross : Une seconde... La maison se trouve sur des déchets radioactifs... et sur des terres sacrées indiennes ? Ça ne se peut pas !
Phoebe : Tu connais mal le gouvernement américain !
Rachel : (qui entre) Salut !
Tous : Salut !
Rachel : ll faut que je te parle.
Ross : Quoi de neuf ?
Rachel : Je m’adressais à Chandler.
Ross : Je sais. Si t’as besoin de moi ... (s’éloigne)
Chandler : Vous avez passé la phase des " mines contrites" ?
Rachel : Ma patronne, Joanna... quand t’es parti ... elle m’a cuisinée à ton sujet.
Chandler : La marchandise lui a plu ? Elle a reconnu le label Qualité ? L’irrésistible " Chan-Chan Man" !
Rachel : (le regarde) C’était... (pause) irréel . Ça t’intéresse ou pas ?
Chandler : Elle avait l’air cool, attirante... C’est d’accord .
Rachel : Merci, Chandler, c’est super ! Elle va m’adorer !
Phoebe : (tenant un dinosaure) Le dinosaure attaque ! Rentrez vite, tous ! Ahh-ahh ! (le dinosaure attaque la maison. Elle aboie comme un chien) Rouf ! Rrrouf-rouf-rouf !
Monica : Phoebe, ça suffit, on arrête. Ni dinosaures, ni fantômes, ni chiens ! C’est pas la taille, pas le style, et ça va pas avec !
Phoebe : Très bien. (elle range ses jouets) Viens, Dino. Quittons cette maison sans imagination !
Ross : Puisqu’on en parle, justement, j’ajouterai que les dinosaures... ça fait pas : Rrrouf !
Phoebe : Les petits, si .
Joey : Salut, Kate.
Kate : ’jour.
Joey : J’ai dîné au restau dont tu parlais...
Le metteur en scène : Hé, ma jolie ! Viens me parler une minute. (elle le rejoint)
Joey : (à lui-même) Le poisson était un délice ! Très bon.
Une femme : Salut ! Je suis Lauren, la doublure de Kate.
Joey : Joey Tribbiani .
Lauren : Je sais... je suis une de tes fans !
Joey : (il la regarde, étonné) Quoi ?!
Lauren : J’organisais mes cours pour voir le Dr Drake Ramoray... dans le feuilleton.
Joey : Arrête, c’est vrai ?
Lauren : Absolument !
Joey : Oui ?
Lauren : Mais ils t’ont jeté dans la cage de l’ascenseur.
Joey : Pour l’échafaud !
Lauren : (elle rit) Ce que t’es drôle ! Que fais-tu après la répète ? On prend un verre ?
Joey : C’est-à-dire... (il voit Kate et le metteur en scène s’embrasser) Oui. Très bonne idée.
Lauren : Cool .
Joey : A toute.
Le metteur en scène : Le moment est venu de jouer, mes pantins doués de parole ! (Joey et Kate se regardent.)
Phoebe : Salut !
Tous : Salut !
Phoebe : Vous avez vu ma maison de poupées ?
Rachel : Ouah !!
Phoebe : Regardez ! (elle soulève le toit et la facade tombe pour révéler l’intérieur.)
Ross : C’est quoi, ça ?
Phoebe : Un toboggan en guise d’escalier ! (elle fait glisser une poupée sur le toboggan)
Monica : Très intéressant !
Rachel : Et ca ?
Phoebe : La pièce en réglisse : on peut manger les meubles ! Et pour les invités, il y a le canapé-carambar !
Ross : C’est la plus cool des maisons !
(Monica les regarde, l’air bléssé)
Phoebe : Qui vient dans la pièce aux encens ? (elle allume de l’encens)
Rachel : Ok !
Ross : Moi !
Monica : Vous avez vu mon vaisselier ?
Ross et Rachel : Ouais-ouais...
Phoebe : Regardez ! (elle allume une guirlande de Noël qui fait tout le tour de la maison)
Ross et Rachel : Ooohhhh !!
Phoebe : Et... (elle allume un appareil à bulles)
Ross et Rachel : Ahhhh !!
Chandler (qui entre) Celle de mon père fait pareil .
Rachel : (à Chandler) A-a-alors ? Comment ça s’est passé ?
Chandler Le film était super... le dîner aussi, et rien de tel qu’ une fraîche soirée à New York !
Rachel : Hmm.
Chandler Mais j’en ai pas profité, tellement Joanna est barbante !
Joanna : Chandler est fabuleux !
Rachel : Quoi ?!
Joanna : Ça a cliqué entre nous. Dès que je lui ai ouvert la porte, ca a fait clic ! ll t’a dit ?
Rachel : Oh, je...
Joanna : ll a un si bon fond, n’est-ce pas ?
Rachel : Oh, je sais...
Joanna : C’est un amour. S’il appelle, passe-le moi directement.
Sophie : C’est super, non ?
Joanna : Gâche pas tout.
Joey : T’en va pas, je t’en prie. Qu’en dis-tu ?
[Un téléphone sonne.]
Le metteur en scène : (il répond au téléphone) Oh, c’est toi ? Une seconde. (à Joey et Kate) Je vais prendre cet appel . Quand on reprendra, j’espère voir surgir sur scène... cette chose magique, qu’au théâtre l’on nomme : "se donner au moment". (il s’en va parler au téléphone)
Joey : (à Kate) ll sort d’ un dessin animé ! Qu’est-ce que tu lui trouves ?
Kate : ll est brillant. C’est pas le cas du pull avec qui tu sors.
Joey : C’est pas le pull qui compte mais ce qu’il y a dessous ! Et depuis quand tu t’intéresses à mes fréquentations ?
Kate : Je m’y intéresse pas. Pourquoi, tu voudrais ?
Joey : Tu voudrais que je veuille ?
Kate : Tu veux ?
Joey : Quoi ?
Le metteur en scène : (de retour) Désolé de le dire, mais on reprend où on s’était arrêtés.
[Ils reprennent la répitition]
Joey : T’en va pas, je t’en prie. Qu’en dis-tu ?
Kate : J’ai pas de raison de rester.
(Joey la prend par les bras et l’embrasse)
Le metteur en scène : Arrêtez tout ! Vous êtes nuls, comme acteurs ! La pièce est minable ! A demain matin. (il sort)
Kate : Et on a la première dans une semaine !
Joey : Ca ira.
Lauren : (à Joey) Ça te dit qu’on aille peindre des tasses ?
Joey : Qoui ?
Lauren : L’endroit dont je t’ai parlé hier soir.
Joey : Ah oui, où on peut peindre nos tasses ! Ca m’intéressait vachement. Mais il faut que je bosse mon texte.
Lauren : Oh, ok.
Joey : Ok. (il lui fait une bise sur la joue)
Lauren : A demain. (elle l’embrasse fougueusement)
Joey : Ok.
Lauren : Bonne nuit. (elle sort)
Joey : (à Kate) Ca va ?
Kate : Je suppose. Que fait-on, pour la scène ?
Joey : Je sais pas.
Kate : Si c’était plus torride...
Joey : Comment ca ?
Kate : Et bien, Adrianne cherche une raison pour rester. Victor peut pas se contenter de l’embrasser. ll doit lui donner une raison.
Joey : ll pourrait lui rouler un patin.
Kate : Ou bien il pourrait s’emparer d’elle et la soulever !
Joey : Oui, oui, et Adrianne pourrait enrouler ses jambes autour de lui.
Kate : Et elle pourrait lui arracher sa chemise, lui embrasser le torse.
Joey : Et puis, lui, avec ses dents, il lui déferait sa robe et, et la mordrait !
Kate : Et à la fin de la scène, il pourrait la prendre avec une rage animale...
[chambre de Joey, lui et Kate sortent la tête de sous les drats.]
Joey : Dans ce goût-là ?
Kate : C’est assez ce que j’avais en tête.
Joey : Ouais.
Joey : (à Ross) Salut !
Ross : ’lut.
Joey : (à Monica) Salut.
(il se met derrière elle, l’embrasse et lui fait une bise dans le cou)
Ross : ’lut.
Joey : Salut.
(Il se place derrière Ross, réfléchit un peu et lui donne l’acollade aussi)
Ross : T’as l’alcool un peu matinal !
Joey : Non, non. Ça a fini par se faire, avec Kate.
Ross : Ohhhhh !
Monica : Sans blague !
Joey : C’était époustouflant. Après notre (pause) nuit d’amour...
Monica : Oulah !
Joey : Je l’ai regardée dormir pendant des heures, inspirant et expirant. Et j’ai su qu’elle rêvait parce que ses yeux faisaient ça (il ferme les yeus et il les bouge, un peu comme s’il était posséedé)
Chandler : (entrant avec Rachel) Joanna se plante complètement ! Je lui ai dit : " C’était sympa, on se refera ça un jour, je t’appelle. "
Rachel : Je me demande bien pourquoi elle attend ton appel !
Chandler : C’est la formule habituelle.
Rachel : Tu peux pas dire : "J’ai été ravi . Bonsoir" ?
Chandler : Aussi crûment ? La soirée prend fin, elle attend que je dise que je vais l’appeler, et ça sort automatiquement. C’est compulsif !
Monica : Quand un mec dit qu’il appellera, ça veut pas dire qu’il le fera ! T’as jamais connu ça ?
Rachel : lls appellent toujours.
Monica : Va te faire...
Joanna : ll a appelé ?
Rachel : Non, désolée.
Joanna : Pourquoi ? ll avait dit qu’il appellerait !
Sophie : Les femmes qui réussissent lui font peut-être peur.
Joanna : (à Sophie) Lâche-moi le cul ! (à Rachel) Pourquoi il appelle pas ?
Rachel : Ça le gêne peut-être que vous soyez ma patronne.
Joanna : Le gêner ? Mais pourquoi ?
Rachel : Ben...
Joanna : C’est toi qui lui as dit de pas appeler ?
Rachel : Non, je...
Joanna : Si ça te gêne parce que tu bosses pour moi, il y a toujours moyen de régler ça.
Rachel : (en arrachant le magazine des mains de Chandler) Appelle-la et tout de suite !
Chandler : Multiples lacérations cutanées !
Rachel : " Pourquoi il appelle pas ? ll avait dit qu’il appellerait ! " Elle est flippée ! Elle est devenue dingue !
Chandler : (sarcastique) Dans ce cas, d’accord !
Rachel : C’est pas drôle. Elle croit que c’est ma faute. Appelle-la !
Chandler : Pas si longtemps après, pour dire : "T’as remarqué ? Tu me plais pas. "
Rachel : Alors, tu dois la réinviter.
Chandler : Elle est trop rasoir ! Et son mascara lui fait des crottes au coin des yeux !
Rachel : Je m’en fous ! Tu vas la réinviter et lui dire à la fin de la soirée que ça s’arrête là ! Et même si c’est dur, ne dis pas que tu la rappelleras !
Chandler : Bon. Je l’emmène juste déjeuner, pas plus d’ une heure. Et ne m’arrange plus de rencards avec personne !
Rachel : Très bien !
Chandler : C’était juste pour gueuler.
Rachel : Je sais.
Ross : Mon ?
Monica : (de la salle de bains) Je suis sous la douche !
[il ferme la porte et va chercher quelque chose dans le frigo. Il semble sentir quleque chose, se tourne et aperçoit de la fumée sortir de la maison de poupée de Phoebe. Il soulève le toit de la maison et on voit des flammes en sortir.]
Ross : Au feu ! ll y a le feu !
[Il essaie de souffler dessus et, évidemment, ça ne marche pas. Il court à l’évier pour remplir un verre mais comme Monica tire de l’eau avec le douche, il n’y a pas de pression. Comme ça prend trop de temps, il décide de ne verser que la moitié du verre mais ça ne marche pas. Il finit par soulever la maison de poupée pour la mettre sous le jet de l’évier mais elle ne rentre pas dedans donc il se dirige vers la salle de bain. Il ouvre la porte du pied et l’on entend Monica hurler de toutes ses forces.]
Joey : Salut.
Kate : ’lut.
Joey : J’ai parlé à Lauren, pour nous deux. T’en as parlé à Marshall ?
Kate : De quoi ?
Joey : De ce qui s’est passé entre nous.
Kate : Nooon. ll n’y a aucune raison qu’il l’apprenne. C’est sans importance.
Joey : De quoi tu parles ? C’était important ! T’étais pas indifférente, hier ! J’étais là ! T’es pas si bonne comédienne !
Kate : J’étais prise dans le moment ! C’est tout ! Je suis désolée que ça te peine. Tu t’es déjà fait des nanas sans les aimer,non ?
Joey : Nooon.
Lauren : (qui entre) Salut Kate !
Kate : Salut Lauren.
Joey : Salut Lauren.
Lauren : Salut, porc !
Ross : Pardon de t’avoir fait peur.
Monica : C’est rien. Au fait, je vérifiais juste que la douche-massage marchait.
Ross : Oui.
Phoebe : (qui entre) Salut.
Monica : J’ai essayé de te joindre. ll y a eu le feu.
Phoebe : (elle remarque les restes de la maison) Oh mon Dieu ! Que s’est-il passé ?
Ross : Nous pensons que le feu a pris ici (il utilise un stylo pour indiquer le point d’origine) dans la pièce aux encens.
Phoebe : lls sont tous sains et saufs ?
Monica : La girafe, ça va, et le pirate aussi .
Phoebe : C’est quoi ? (elle remarque un mouchoir qui recouvre quelque chose et va pour le soulever)
Ross : Ne regarde pas là-dessous !
Phoebe : (elle fait une pause pour se préparer, puis elle soulève le mouchoir) Les marionnettes adoptées !
(elle ramasse un bout de plastique brulé qui était une marionnette et commence à pleurer. Monica se lève pour la réconforter)
Chandler : C’est rien. C’est là, (il le montre de son doigt) et ça y est tout le temps.
Joanna : Merci pour ce déjeuner.
Chandler : (il regarde Rachel et celle-ci fait non de la tête) C’était plaisant.
(Rachel essaie de s’éloigner lentement pour les laisser parler.)
Joanna : N’est-ce pas ?
Chandler : On a bien mangé.
Joanna : N’est-ce pas ?
Chandler : Prends soin de toi .
Joanna : Toi aussi .
Chandler : Je te rappelle, on se refera ça ! (Rachel est déçue)
Joanna : Super ! J’ai hâte d’y être !
Joanna : Des messages ?
Rachel : Sur le bureau de Sophie.
(Chandler s’apprete à partir, honteux, mais Rachel l’arrête dans le couloir.)
Rachel : (chuchotant) Tu vas l’appeler ?
Chandler : Noon !
Rachel : Chandler !!
Chandler : Je suis désolé. Je suis faible, lamentable et désolé !
Rachel : Tu vas lui dire et maintenant ! (elle attrape son téton et le pince)
Chandler : Je ne vais pas t’appeler.
Joanna : Quoi ?
Chandler : Je suis désolé. Pardon pour cette promesse que je ne tiendrai pas. Tu n’as rien à y voir et c’est pas la faute de Rachel . C’est moi . J’ai de grosses difficultés avec les femmes. J’ai un problème dès qu’il est question d’engagement, d’intimité, (pause) de crottes de mascara. Je suis désolé que ça ne puisse pas marcher entre nous.
Joanna : Ça ne finit pas comme j’espérais mais j’apprécie quand même ton honnêteté.
Chandler : Oui, O-ok.
Joanna : Donc...
Chandler : C’était super, je t’appelle, on se refera ca !
(Rachel ne revient pas et elle en lève les bras au ciel.)
Joey : (au téléphone) Ce que je veux dire, Beth c’est que je n’ai pas assez pris en compte tes sentiments. J’ai appris ce que c’était d’être de ce côté-là et je regrette. Tu peux me pardonner ? (il écoute) Super, merci . Bye. (Il s’assoie et raye quelque chose sur un papier, puis il compose un numéro.) Jennifer ? (il écoute) Mme Laurio ! Jennifer est là ? (il écoute) Elle n’est pas rentrée ? (il écoute) C’est pas grave, en fait, je voudrais vous parler, à vous aussi .