Scripts saison 3 V.F. |
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Script Saison 3 Episode 21 |
Générique |
Titre US : The One With A Chick And A Duck
Titre FR : Celui qui avait un poussin
Écrit par Chris Brown
Réalisé par Michael Lembeck
Transcrit par Eric Aasen
Traduit par Isabelle Juhasz
Fiche détaillée et photos - Titres Saison 3 - Résumé de l'épisode - Script en anglais
Script V.F. |
Rachel : [Elle pousse Monica qui roule vers Phoebe.] Qui a eu l’idée de vous faire servir sur des rollers ?
Monica : Un client débile l’a suggéré dans la « boîte à idées. »
Phoebe : Ils ont pris mon idée !
Monica : C’était toi ?
Phoebe : [Elle évite de répondre en la relançant vers Rachel.] C’est parti !
Gunther : [Il donne une tasse à Rachel.] Je t’ai fait un chocolat.
[Rachel est distraite par Gunther et ne voit pas Monica arriver. Monica la bouscule et elles tombent toutes les deux.]
Phoebe : [Elle court vers elles.] Ça va, les filles ?
Joey : [Il sort du café et voit Monica, à plat ventre sur Rachel qui est sur le dos, sur le trottoir. Il apprécie ce spectacle...] Ca alors !
Joey : Avec ce bouc, tu ressembles à Satan.
Chandler : Voilà pourquoi le prêtre m’a aspergé d’eau bénite. Faut que tu te secoues. Sors avec Ross et moi. C’est mieux que de pleurer en pensant à Kate.
Joey : Je pleurais parce que personne ne croit à la théorie de Quincy.
Ross : [Il entre, excité.] Je passe à la télé !
Chandler : Sans blague.
Ross : Une émission sur les fossiles récemment découverts au Pérou filmée par Discovery Channel.
Chandler : La vache ! Mais qui va regarder ça ?
Ross : Merci. Tu es prêt ?
Chandler : Oui. [Il met son gilet.]
Joey : J’ai vu une fille porter ce gilet.
Chandler : Merci. [Il jette son gilet parterre.]
[Joey retourne regarder la télévision. Une publicité passe.]
L’annonceuse : [à la TV] D ’ordinaire, à Pâques, on offre des lapins en chocolat. Certains préfèrent offrir des poussins vivants. Malheureusement, la plupart d’entre eux ne survivront pas jusqu ’à l’été. Ils seront mal soignés et mourront. [Joey regarde les poussins et veut en acheter un.]
Joey : [Il prend le téléphone et appelle.] Vous vendez des poussins ? J’ai vu une pub à la télé. Ces petites choses sont si mignonnes.
Monica : Pete, tu es revenu. Regarde un peu ça ! [Elle sort du comptoir sur ses rollers et roule jusqu’à lui. Il la rattrape.]
Pete : Des patins à roulettes !
Monica : T’es plus solide que Chandler. Il s’est ratatiné comme une feuille. Et ton voyage ? Que m’as-tu rapporté ? [Elle ouvre le cadeau de Pete.] Des produits de toilette ramassés dans les hôtels japonais. Je les mettrai dans ma collection permanente. Tu veux un café ?
Pete : Avec plaisir.
Monica : [Elle passe derrière le comptoir difficilement et tombe. Elle se relève.] Du café ou du déca ?
Pete : Celui qui est le plus près.
Monica : [Elle li verse une tasse de café.] D’accord.
Pete : Demande-moi ce que j’ai fait.
Monica : Qu’as-tu fait ?
Pete : J’ai acheté un restaurant, et ce sera toi le chef.
Monica : Tu te rends compte, il m’offre un restaurant !
Rachel : Quel crétin ! Tu veux que je lui botte les fesses ?
Monica : Je rêve de ça depuis que j’ai reçu mon premier four miniature, toute petite. Je pourrais tuer pour un tel boulot. Je le ferais très bien et j’en ai assez bavé. Pete fait tout ça parce qu’il est amoureux de moi.
Rachel : Tu n’es toujours pas attirée par lui ?
Monica : Comment accepter qu’il m’offre un resto ? J’ai pas voulu du collier de Stu Vincent, en 5ème.
Rachel : C’est pas la même chose. C’était ton prof d’éducation sexuelle !
Monica : Arrête ! [Elle la frappe gentiment sur le dos. Rachel a l’air de souffrir.] Qu’est-ce qu’il y a ?
Rachel : J’ai mal depuis que tu m’es tombée dessus.
Monica : Je suis vraiment désolée.
Ross : [Il entre habillé d’un costume blanc.] Salut, les filles. Vous savez quoi ?
Rachel : T’as du boulot sur un bateau ?
Ross : J’ai pas mis ce costume depuis un an. Tu le détestais. Comme on ne sort plus ensemble...
Rachel : Le costume transmet un message. Puisque tu es célibataire, rien ne t’empêche d’avoir l’air con.
Ross : [à Monica] Il te plaît ?
Monica : Beaucoup. Et il te va mieux qu’au colonel Sanders. [Ross commence à partir.] Je plaisante ! Que voulais-tu nous dire ?
Rachel : Comment tu récoltes le coton ? [Ross sort.]
Chandler : Après que tu as déposé ta suggestion, quand ont-ils sorti les rollers ?
Phoebe : Environ trois mois après.
Chandler : Il faudra encore deux semaines, avant les serveuses aux seins nus.
Joey : [Il entre portant une boîte.] Salut. Je t’ai apporté un cadeau. Ouvre ! [Il lui tend la boîte.]
Chandler : [Il ouvre.] C’est un poussin !
Joey : Il est mignon.
Phoebe : Vous vous y connaissez en poules ?
Chandler : La volaille ? Non. Les femmes ? Non plus.
Phoebe : C’est une grande responsabilité. Surtout à cet âge. Il faut les surveiller, bien les nourrir et beaucoup les aimer.
Joey : De ce côté-là, pas de problème. [Il prend le poussin, le sert dans ses bras et lui parle comme à un bébé.]
Chandler : Doucement, Lenny !
Pete : Tu as réfléchi à ma proposition ?
Monica : Le truc, c’est que...
Pete : Pas « le truc. » Je déteste « le truc. » C’est quoi, « le truc » ?
Monica : Je peux pas accepter. Désolée. J’aimerais bien mais tu as des sentiments pour moi.
Pete : Attends. C’est ce qui t’inquiète ? Dans ce cas, il n’y a aucun problème. Je voulais te le dire plus tard, j’ai rencontré quelqu’un. Anne, une journaliste, on s’est rencontrés dans l’avion. Elle voulait mes cacahuètes... j’ai compris autre chose. On a ri. J’en avais assez d’attendre.
Monica : C’est génial. Je suis désolée, mais contente pour toi. Du coup, je peux accepter.
Pete : En effet.
Monica : Mon Dieu, mais c’est incroyable ! Je vais rouler jusqu’au bureau du patron et démissionner. Tu peux me pousser ? [Il la pousse et elle glisse dans le couloir.]
Pete : Bonne chance !
Monica : Je démissionne ! [Elle tombe et se relève.] Tout va bien.
Phoebe : [Elle a tout écouté.] Génial. Tu es allé au Japon, tu as inventé une fille.
Pete : Pardon ?
Phoebe : Cette fille, elle est fictive, non ?
Pete : Pourquoi ?
Phoebe : Tu aimes toujours Monica. Tu as dit ça pour qu’elle accepte. Tu penses qu’en passant du temps ensemble, tout changera.
Pete : Tu es perspicace.
Phoebe : Je suis plutôt intuitive et médium. C’est un don considérable.
Pete : Tu me promets que tu ne lui diras rien ?
Phoebe : Bien sûr. Je te le promets. Lui dire quoi ?
Pete : Merci beaucoup.
Phoebe : Sérieux ! Je suis intuitive, mais j’ai pas de mémoire.
Chandler : D’accord, mais c’est la dernière fois. [Il prend le poussin dans ses mains et chante.] Un petit poussin par-ci Un petit poussin par-là Ici et là Des poussins dans tous les coins.
Joey : [Il entre.] Comment va-t-elle ?
Chandler : Elle ?
Joey : C’est pas une femelle ?
Chandler : J’en sais rien. [Il prend le poussin, le retourne et regarde sous les plumes.] J’ai rien vu, c’est rentré trop vite.
Joey : Je me change. Je sors avec des gens de la troupe.
Chandler : Pardon ? Je suis resté ici pendant ta répète pour tenir compagnie à « notre » poussin.
Joey : Qui a veillé de 2 h à 5 h du matin pour essayer de l’endormir ?
Chandler : Tu crois que je dors, pendant ce temps ?
Joey : Nous y voilà.
Chandler : Oui, nous y voilà. Je suis resté coincé ici toute la journée. Tu rentres, tu restes deux secondes avec nous et tu comptes aller courir le guilledou avec tes potes ? Ça se passera pas comme ça.
Joey : J’ai besoin de me relaxer. J’ai bossé toute la journée.
Chandler : S’occuper de « notre » poussin, c’est pas du boulot ?
Joey : J’ai pas dit ça. Ce que je voulais dire...
Chandler : Je sais ce que tu voulais dire. [Il fiat une pause.] T’as remarqué que depuis qu’on a ce poussin on se dispute plus qu’avant ?
Joey : On n’était peut-être pas prêts pour avoir un poussin.
Chandler : Je la ramènerai demain au magasin.
Joey : Ils te rendront les 3 $ ?
Ross : [Il entre.] Je vais à mon émission de télé. J’ai besoin d’aide. Je mets le costume bleu, ou bien le marron ? [Il montre les deux costumes.]
Joey : Le marron met tes yeux en valeur. Mais le bleu te fait un plus beau cul.
Ross : C’est vrai ? [Joey prend un air intéressé.]
Ross : Ce lancer d’aspirine était spectaculaire.
Rachel : [Elle veut se baisser pour ramasser l’aspirine mais pousse un cri de douleur.] Ahh !
Ross : Tu as toujours...
Rachel : Tout va bien.
Ross : C’est pas vrai.
Rachel : Je t’assure. Regarde, je vais bien. [Elle prend un cachet d’aspirine avec son pied.] Regarde ça. [Elle bascule vers l’arrière. Ross la rattrape.]
Ross : Il faut que tu ailles voir un médecin.
Rachel : Je dois me préparer pour aller dîner chez ma chef. Il y aura des gens que je dois rencontrer.
Ross : Tu vas faire une impression d’enfer. [Il lève son pied et fait semblant de serrer une main avec.] « Bonsoir. Rachel. Ravie de vous connaître. » Tu as sûrement une côte cassée.
Rachel : J’irai à l’hôpital demain, elle sera toujours cassée. Tu pourrais m’aider à me préparer. Soit tu m’aides, soit tu t’en vas.
Ross : J’y vais.
Rachel : [Avec une expression de douleur sur le visage.] Avant de partir, tu peux m’aider ?
Rachel : Bien sûr, je vais t’aider.
Chandler : [Il entre en courant.] Vous savez comment sortir un poussin du magnétoscope ?
Rachel : Tu sais quoi ? J’y arriverai pas de la main gauche. Tu peux m’aider à le faire ? On va prendre ce pinceau.
Ross : Ce truc ? [Il prend le pinceau.]
Rachel : Attention ! Balaie la paupière d’un coup rapide. Un coup rapide.
Ross : [Il commence à la maquiller.] Pardon !
Rachel : Tu m’as tapé dans l’œil.
Ross : Désolé. Je balaie.
Rachel : Fais pareil des deux côtés. Faut pas... Il faut pas trop en mettre. Ce doit être discret. [C’est trop tard.]
Ross : Tu n’en mets jamais assez.
Rachel : Depuis quand tu trouves que je n’en mets pas assez ?
Ross : Ferme l’œil. Je suis sûr que ça te plaira.
Rachel : Souffle dessus.
Ross : Parce que comme ça, tu auras l’air plus sophistiquée.
Rachel : [Elle a toujours les yeux fermés.] Sophistiquée comme une pute ?
Monica : Devine ce que je fais.
Phoebe : Quoi ?
Monica : Je vais visiter le resto avec Pete.
Phoebe : Je suis vraiment très contente pour toi. J’ai un truc à te dire. Je peux pas te le dire.
Monica : Ce serait plus simple si tu me disais un truc que tu peux me dire.
Phoebe : Oui, dans un monde parfait. J’ai promis de ne rien dire, devant tous mes dieux.
Monica : Ça a un rapport avec Ross et Rachel ? [Phoebe fait un signe de négation de la tête.] Avec Joey ? [Encore non.] Chandler et la chaussette qu’il garde à côté de son lit ?
Phoebe : Non, mais on en reparlera.
Ross : Voilà. C’est très bien pour ton dîner.
Rachel : [Elle ouvre ses yeux.] Bien sûr. Je m’assairai à côté du transsexuel du service achats.
Ross : Bon, j’y vais. Bonne chance pour ta soirée.
Rachel : Tu peux m’aider à m’habiller ? [Ross décide de rester.] Tourne-toi.
Ross : Pardon ?
Rachel : Je ne veux pas que tu me voies nue.
Ross : Je t’ai vue nue des millions de fois. J’ai mangé du chocolat sur ton corps. J’ai léché ce mini-chamallow dans ton nombril.
Rachel : C’est pas pareil. On sortait ensemble. Là, c’est bizarre.
Ross : Je peux te voir nue dès que j’en ai envie.
Rachel : Pardon ?
Ross : Il suffit que je ferme les yeux. Il ferme les yeux et dit ce qu’il voit.] Oh ! Une Rachel nue !
Rachel : Ross, arrête ! Ne pense plus à moi de cette façon.
Ross : Tu peux rien y faire. C’est mon droit en tant qu’ex-copain.
Rachel : Arrête ! Ca suffit !
Ross : Je m’excuse, ça n’arrivera plus. Attends une minute. [Il ferme les yeux.] Je te vois en 100 exemplaires et je suis le roi !
Rachel : Arrête.
Ross : Ca n’a rien d’extraordinaire.
Rachel : D’accord. Très bien. Je vais me débrouiller toute seule. [Elle commence à mettre sa robe et pousse un petit cri de douleur.] How !
Ross : Nom de Dieu ! Bon, écoute... Doucement. Il faut que tu ailles à l’hôpital.
Rachel : Oui, je crois bien.
Ross : Je ramène ton manteau, je te mets dans un taxi.
Rachel : Tu viens pas avec moi ?
Ross : [Il comprend qu’il ne passera finalement pas à la télévision.] Mais si, bien sûr. J’ai un coup de fil à passer.
Rachel : [Elle enlève son maquillage.] D’accord.
Ross : Qu’y a-t-il ?
Rachel : Je peux pas aller à l’hôpital avec cette tête-là.
Monica : Ça a un rapport avec les voyages ?
Phoebe : Non.
Monica : Avec les princes ?
Phoebe : Les princes ou les pinces ?
Monica : Les princes.
Phoebe : Non.
Monica : Les pinces ?
Phoebe : Non.
Monica : Ça ne concerne ni Ross, ni Rachel, ni Chandler, ni Joey.
Phoebe : Oui.
Monica : Pete ?
Phoebe : Mmmm !
Monica : C’est quoi ? Qu’est-ce qu’il a ?
Phoebe : Je ne sais pas.
Monica : J’ai l’impression de parler à Lassie. Phoebe, tu peux pas me le dire ?
Phoebe Impossible.
Monica : Bon, j’y vais.
Phoebe : Tu y étais presque.
Monica : Le boulot de Pete ?
Phoebe : Tu ne trouveras jamais.
Chandler : Je sais. C’est Yasmine Bleeth. C’est pas le même genre de poule. Je vous aime toutes les deux. Très différemment.
Joey : [Il entre.] Je croyais que tu l’avais rapportée au magasin.
Chandler : Ils voulaient pas la reprendre. Je l’ai amenée à la SPA. Tu sais ce que j’ai découvert ? Si personne ne l’adopte, ils la tuent. Ça arrivera pas à ma petite Yasmine.
Joey : Bon, tant mieux. J’avais changé d’avis.
Chandler : Ils ne font pas ça qu’aux poussins, mais à tous les animaux.
Joey : C’est affreux. T’as bien fait, mon vieux.
Chandler : Merci. Je suis content que tu sois d’accord. [Un jeune canard sort de la salle de bains. Chandler est gêné.] J’ai une histoire drôle.
Monica : Je n’en reviens pas. [Elle ouvre le réfrigérateur.] Regarde ce réfrigérateur ! Il est immense ! Je pourrais habiter dedans. J’aurais froid, mais j’ai toujours froid. [Elle ouvre le fourneau.] Regarde ce fourneau. J’adore ce genre de fourneau.
Pete : Alors, ça te plaît ?
Monica : C’est tellement parfait ! Merci beaucoup.
Pete : Il n’y a pas de quoi.
[Pete serre Monica dans ses bras et il sent ses cheveux.]
Monica : Tu as senti mes cheveux ?
Pete : Pas du tout. Quoi ? Qu’y a-t-il ?
Monica : Tu m’aimes toujours.
Pete : Non. Je suis tout excité à l’idée d’ouvrir ce restaurant. [Elle le regarde incrédule.] D’accord, je t’aime. C’est moche ?
Monica : Non, c’est pas moche. Pas du tout. C’est même très agréable.
Pete : Celui qui risque de souffrir, c’est moi, et ça ne me dérange pas.
Monica : Ça te dérange peut-être pas mais j’ai pas envie de te faire souffrir. C’est pour ça que je peux pas travailler ici.
Pete : Quoi ?
Monica : Il vaudrait mieux qu’on ne se voie plus. Je suis désolée.
Pete : Si c’est vraiment ce que tu veux. [Il l’embrasse pour lui dire au revoir.] Dommage que...
Monica : Tais-toi une seconde. Laisse-moi voir quelque chose. [Elle l’embrasse à son tour.]
Rachel : Tu me mentirais pas ?
Ross : On ne peut pas avoir l’air gros sur une radio.
Chandler : [Il sort avec le canard et le pose dans le couloir.] Reste ici et pense à ce que tu viens de faire.
Ross : C’est un canard !
Chandler : C’est un vilain canard. [à Ross] Ça s’est bien passé ?
Rachel : De quoi tu parles ?
Ross : Rien. Un truc au musée. [Ross et Rachel entrent dans l’appartement.]
Chandler : [au canard] Quand tu rentreras, n’oublie pas que ce poussin n’est pas un jouet.
Rachel : C’était quoi, ce « truc » ?
Ross : Je devais passer à la télé, sur Discovery Channel.
Rachel : Mon Dieu ! Pourquoi tu me l’as pas dit ?
Ross : Si je te l’avais dit, tu m’y aurais fait aller. Tu avais besoin que quelqu’un reste avec toi, ce soir.
Rachel : J’en reviens pas.
Ross : Quoi ?
Rachel : C’est tellement gentil.
Ross : Tu devrais aller dormir.
Rachel : Désolée d’avoir gâché ta soirée.
Ross : Mais non... du moment que tu vas bien. A demain. [Il sort.]
Rachel : A demain...
[Dans le couloir, Ross s’assoit avec le canard. Chandler sort.]
Chandler : [à Ross] Qu’est-ce que tu as fait ?
Joey : [Il entre dans la salle de bains.] Vous faites quoi ?
Chandler : On prend un bain.
Joey : Et le poussin ?
Chandler : Les poussins ne nagent pas.
Joey : T’es sûr ?
Chandler : J’en sais rien.
Joey : On essaie ?
Chandler : Oui. [Joey prend le poussin et le met dans la baignoire.] Je te l’avais dit. Les poussins ne nagent pas.
Joey : Laisse-lui le temps.
Chandler : Mais non ! [Il le ressort de l’eau.]Tout va bien, mon bébé. [Joey prend un sèche-cheveux et on imagine la suite.]