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10 ans de Friends, l'encyclopédie exhaustive de la série culte. 466 pages.
   
 
Week End Friends 2001

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Compte-rendu

 
 
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    Vu de l’intérieur

Présentation

Nous avions demandé aux équipes de nous donner leur propre point de vue sur cette journée. Voici donc le point de vue de notre ami David, précédé du compte-rendu qu’en a rédigé l’équipe 4, et dont le texte nous a été remis par Gaëlle Martin, en son nom et en celui de ses camarades Bénédicte Le Masson, Annabelle Rocamora, Élisabeth Lebourg et Laurianne Irles.

Compte-rendu de l’équipe 4

En tant que représentante choisie par l’équipe 4 pour vous donner un compte-rendu de la journée Friends, je peux vous assurer qu’on ne s’est toujours pas remises de ce samedi de folie au rythme endiablé mais oh combien sympa... Enfin nous voilà, équipe 4 au rapport !

L’énigme 1  : Monica hésite entre deux variétés : roses et lys.
La question qui tue : Faites-y vos emplettes avant de ne pas battre une femme.
L’indice : Quai, assurance.
La réponse : 21 quai aux Fleurs.

Y a pas à dire, la question qui tue nous a tuées ! On pensait d’abord qu’on était mal réveillées, mais non, même en connaissant le chemin de la réponse, trois jours plus tard cela reste toujours tordu ! Heureusement, l’énigme Friends était une douce mise en condition...

L’énigme 2 : Ross et Phoebe en ont un dans la série.
La question qui tue : Inutile de vous mirer dans la Seine pour voir le vôtre.
L’indice : Pont.
La réponse : Le Pont-au-Double, sur la balustrade.

On devait être un peu plus réveillées à ce stade, car cette fois, c’est la question qui tue qui nous a permis de trouver... Et on s’est dit que si toutes les énigmes étaient aussi faciles, ce rallye serait une balade de santé ! Bon, bien sûr on ne connaissait pas encore la suite...

L’énigme 3 : Le sien pue, le nôtre pêche.
La question qui tue : Les félins mangent-ils du poisson ?
L’indice : Munissez-vous d’une loupe.
La réponse : Rue du Chat-Qui-Pêche, au fond de la rue sur le mur.

Alors là, le Chat-qui-pêche est trouvé en deux secondes chrono ! L’équipe 4 est sur la bonne voie...

L’énigme 4 : Pour Monica et Chandler, ce serait l’endroit idéal pour le mariage.
La question qui tue : Victor Hugo écrivait-il des comédies musicales ?
L’indice : Parvis.
La réponse : Parvis de Notre-Dame de Paris, où Thomas et Lavinia (futurs jeunes mariés eux-mêmes !) accueillent les équipes avec un quizz sur le mariage.

On continue notre balade de santé, il fait beau et c’est agréable de voir les petites rues de Paris, on se croirait en vacances !

L’énigme 5 : Voyons si l’Être Suprême est disponible.
La question qui tue : On n’est pas forcé de l’arpenter à genoux.
L’indice : Rue, grimpez, grimpez, grimpez.
La réponse : Rue Dieu, au fond de la rue, sur le pont, sur la balustrade.

Ça se corse ! L’ordination des prêtres à Notre-Dame ne facilite pas notre recherche de l’indice, qui se trouve être un organisateur armé d’un quizz qui nous a un peu assommées ! (zut, il fallait réviser !)... Puis on a un peu buté sur l’énigme suivante, car nos esprits en ébullition avaient besoin d’une pause (chaste bien sûr !)...

L’énigme 6 : Elle a un mari français.
La question qui tue : Garçon ou fille ? Ça se discute, sauf chez Delarue.
L’indice : Elle n’est pas sage.
La réponse : Passage Lisa, au fond de la rue, sur le pot de fleurs.

Bon, on remonte à la vitesse de croisière, merci à la question Friends d’être compréhensible et de nous permettre d’avancer. Mais pourquoi le monsieur qui fait les questions qui tuent est-il si méchant ? (Je proteste ! – Note du monsieur) Au passage, c’était sympa le détour par le petit pont d’Amélie Poulain !

L’énigme 7 : Fera date.
La question qui tue : Au bout de combien donne-t-on un début de réponse ?
L’indice : Rue.
La réponse : Rue du Rendez-vous, au début de la rue, un immeuble fer à repasser.

Là encore, vive l’énigme Friends ! Comme nous étions toutes des spécialistes émérites de la langue anglaise, date n’a eu aucun secret pour nous ! Et l’idée du flat iron, c’était ROYAL, pendant trois secondes on s’est crues à New York !... Et dire qu’on cherchait une blanchisserie pour une histoire de fer à repasser...

L’énigme 8 : Le sport et l’argent y font bon voisinage.
La question qui tue : Diogène y aurait trouvé un logement.
L’indice : Escalier.
La réponse : Parc de Bercy.

Soyons justes, on doit avouer qu’on se doutait de la réponse, car comme on commençait à avoir faim, on a suivi la voix de notre estomac pour trouver les Cocas et jus d’orange qui nous attendaient...

PAUSE : Le mime, c’est un vrai casse-tête ! Il est clair qu’on n’est pas prêtes pour la télé, mais au moins on a bien ri !

L’énigme 9 : Joey le connaît grâce à l’encyclopédie qu’il a achetée.
La question qui tue : Tournesol était dur d’oreille, lui aimait les tournesols.
L’indice : Rue. Lui n’est pas mort-né.
La réponse : Rue Van Gogh, sur un pilier de la rue, côté immeuble Mornay.

C’était tellement facile que l’on s’est retrouvé à trois équipes en même temps devant le panneau, et ça c’était un peu désordre et assez énervant... On se serait cru épisode 309, dans une partie de football où il n’y a aucune règle !

L’énigme 10 : Si Rachel était française, elle s’appellerait...
La question qui tue : Préférée de Mamère.
L’indice : Allée, ne vous laissez pas distraire par le 3.
La réponse : Allée Verte, immeuble en face du 3.

Décidément, on ne peut plus être seul ! Énigme toujours simple, alors les équipes se suivent et ne peuvent plus se séparer... Le rallye perd nettement de son charme...

L’énigme 11 : Vertu bien difficile à pratiquer, surtout lors d’un break.
La question qui tue : Si elle existait, il n’y aurait plus de comédies de boulevard.
L’indice : Rue. Ce n’est pas la clé du bonheur, mais presque.
La réponse : Rue de la Fidélité, en face de la clé du bonheur, sur le panneau publicitaire.

Ah, là, il a fallu un temps d’adaptation car les choix étaient larges : vertu, chasteté... Cela a eu l’avantage de mettre de la distance entre les équipes, c’était très bien !... Au fait, c’est vrai quoi, Ross et Rachel faisaient une pause !

L’énigme 12 : Ross a essayé d’y garder toutes ses facultés.
La question qui tue : Élizabeth Teissier a tenté d’en faire partie.
L’indice : Rue, 13.
La réponse : 13 rue de l’Université, devant l’ENA. Damien et Jean-Pierre y accueillent les équipes pour un quizz évidemment universitaire.

Une brillante coéquipière a tout de suite répondu à la question qui tue, sans regarder le reste ! Allez, on y croit, on sera sur le podium !

L’énigme 13 : L’objet qui a changé la vie de Ross et Rachel.
La question qui tue : Autrefois, renfermait des sous, aujourd’hui, des sons.
L’indice : Rue. Paris-New York, 1420 francs.
La réponse : Rue Cassette, au pied de la vitrine du magasin Le Monde des Amériques.

Aïe, elle commence par un quizz (juré, l’année prochaine, on révise !). Et là, l’Unagi nous a fait répondre tout de suite à la question qui tue ! L’équipe est au top, on va aller sur le podium !

L’énigme 14 : Joey l’est devenu par Internet.
La question qui tue : Sans lui, le lait tournerait plus vite.
L’indice : Boulevard, c’est pas des bouffons.
La réponse : Boulevard Pasteur, devant l’entrée du lycée Buffon.

Les accros de Canal Jimmy ont tout de suite répondu, donc nous voici vite à l’étape suivante (surtout avec deux profs dans l’équipe, les bouffons et le lycée, c’était donné !)

L’énigme 15 : Elles se sont battues pour lui.
La question qui tue : Aware : c’est un cas, mais raté.
L’indice : Rue, coiffeur.
La réponse : Rue Vandamme, sur la devanture du coiffeur de la rue.

Excellente question qui tue ! Mais on ne l’a pas trouvée tout de suite ; heureusement, l’énigme Friends était là ! Le rythme d’enfer que nous suivons depuis la fin de la pause continue...

L’énigme 16 : Il nous sépare de New York.
La question qui tue : Pourquoi n’y pousse-t-il pas des algues ?
L’indice : Jardin, plein milieu.
La réponse : Jardin Atlantique.

L’océan ? L’Atlantique ? Rien de tout cela dans nos plans et index. Alors nous voici embarquées dans un plan tordu, via la Place de la Concorde (ben oui, le Concorde nous relie bien à New York !). Mais, arrivées au bassin central du jardin des Tuileries, tout le poids de notre fatigue, de nos kilomètres à pieds, de la chaleur et de nos espoirs déçus s’abattent sur nos frêles épaules quand par téléphone une voix nous annonce, telle une condamnation à perpétuité, qu’on s’est totalement plantées...

Oh my God !...


VOILÀ... Petit compte-rendu de notre traversée de Paris, auquel je voudrais rajouter quelques remarques :
- La découverte de certains endroits inconnus a donné beaucoup de charme à cette excellente journée.
- Pour être sûr que toutes les équipes se rendent bien à chaque nouveau panneau, pourquoi ne pas, sur chaque nouvelle énigme, inscrire une lettre ou un chiffre à relever pour prouver qu’on est bien passé par là ?
- Il faudrait trouver un moyen sûr pour que les équipes ne se retrouvent pas, au début, toutes ensemble sans se départager sur les énigmes.
- Merci beaucoup à toute l’équipe des organisateurs pour avoir fait un super boulot de recherche pour les énigmes.

Bonnes vacances à tous !
Gaëlle, de l’équipe 4.

Tout le monde il est beau...

Tout a commencé le samedi matin où nous avions tous rendez-vous près de l’Arc du Carrousel, dans les jardins du Louvre, en face de la pyramide de verre. Le rendez-vous était à 9 heures. Les équipes formées, les membres du bureau présentés par le président Franck, on passe à la caisse du Fan Club en s’inscrivant, et on est prêt à partir : les concurrents sont « dispatchés », comme dit Franck, par leurs « guides » qui vont leur indiquer les règles essentielles du jeu et la première énigme.

Les énigmes se présentent de la façon suivante :
- l’énigme proprement dite, en rapport avec Friends bien sûr ;
- la question qui tue, de culture générale, pour nous aider à trouver le lieu de l’énigme suivante ;
- le lieu : une indication (rue, boulevard...) ou une petite métaphore bien pensée.

Sur le lieu une fois découvert, une affiche donnait l’énigme suivante, et ainsi de suite... Parfois nous y attendait un organisateur pour nous poser un petit quizz permettant de gagner des points pour le classement final. Mais je peux vous dire qu’on a marché ! Souvent, nous ne nous déplacions pas de beaucoup, mais davantage à pied qu’à métro, donc la fatigue vient vite vous engourdir les jambes.

L’énigme numéro huit nous menait au parc de Bercy, près d’une petite cascade. Toutes les équipes se sont donc retrouvées sur la pelouse toute fraîche afin de grignoter et reprendre des forces pour le dur après-midi qui nous attendait. Autre « jeu dans le jeu » que le quizz, les sketches : chaque équipe devait mimer un extrait d’un épisode de Friends, et les autres équipes devaient retrouver le titre et le numéro de l’épisode. Rires assurés ! Les sketches n’étaient pas tous réussis, mais la conviction y était. Très drôle, celui joué par l’équipe du Fan Club !

Après cela et une douche que certains ont prise, arrosés qu’ils ont été par quelques mal intentionnés, tout le monde est reparti vers une nouvelle énigme et une nouvelle rue, une nouvelle ruelle, une nouvelle impasse, un nouveau pont...

Le point de rendez-vous final était quand même un peu tordu à trouver : il n’était pas indiqué dans les index des plans de Paris, mais dessiné sur les plans ! Il s’agissait du Jardin Atlantique, suspendu ou plutôt coincé entre quatre immeubles au-dessus de la gare Montparnasse, dont le seul accès, apparemment, était un ascenseur donnant sur une petite passerelle débouchant sur un labyrinthe d’allées bordées d’arbres et entourées de buissons, une verdure étonnante en plein milieu d’une ville plus qu’urbanisée. Au centre, un grand espace verdoyant orné d’une scuplture bien bizarre et de quelques jets d’eau. Un endroit très sympa et vraiment agréable pour terminer ce jeu épuisant ! Heureusement, le réconfort : une glace offerte par le Fan Club, jamais en panne de générosité.

Après les délibérations du jury en vue d’établir un classement entre les huit équipes, le président du Fan Club remet les prix aux équipes victorieuses, c’est-à-dire toutes ! On remercie Cinéstore pour les cadeaux (T-shirts Friends, calendriers, livres, cartes postales...) et le Fan Club pour ce grand jeu de piste très bien organisé et vraiment excellent.

Le dimanche avait lieu le pique-nique au parc André-Citroën. La grande majorité des participants de la veille était présente pour grignoter tous ensemble dans une ambiance bon enfant et dans un cadre plus qu’agréable. Certains ont fini à l’eau une fois de plus, et plein de petits jeux se sont organisés...Le clou des réjouissances : une séance de maquillage pour les trois garçons de mon équipe !
Impossible d’oublier ce week-end mémorable, passé en compagnie de personnes toutes plus excellentes les unes que les autres. Mais le plus remarquable est de constater comment une simple série télévisée peut tant donner à une simple personne. Depuis que je fais partie de Fan Club en tant que membre actif, et depuis l’ouverture du chat sur le site, j’ai rencontré des personnes inhabituelles, étranges, fascinantes, fatales, inquiétantes, surprenantes, charmantes, flamboyantes, détonnantes, inespérées...mais surtout douées d’une faculté qui érige au plus haut ce que représente l’esprit FRIENDS : l’amitié. Le plus beau sentiment du monde, que je ressens à chaque instant passé auprès d’elles.

Courir, toujours courir...

Non mais, ils ont trouvé ça malin, les organisateurs du Week-End Friends 2001, de nous faire courir autant ? Un samedi, alors qu’on est épuisé après une semaine de boulot, et un 30 juin, alors qu’on est fourbu après une année de labeur !

Bon, d’accord, la journée n’avait pas mal commencé, avec le rendez-vous, par un petit matin frais (ben oui, 9 heures et demi un samedi, c’est le petit matin pour les gens normaux), entre les Tuileries et le Louvre (« le plus beau musée du monde », qu’y disaient...). Mais tout de suite, ça s’est gâté. Oh  ! je ne parle pas du discours de Franck, ça, c’est comme dans la tragédie grecque, on n’échappe pas à la Fatalité. Mais ensuite !... C’était quoi, ces prétendues « questions qui tuent » destinées à nous mettre sur la voie ? À nous égarer, oui ! Il doit y avoir un sadique dans l’équipe, pas possible autrement !

C’est une soixantaine de fans qui s’étaient donné rendez-vous ce matin-là. Soixante victimes innocentes, autant dire. De plus, vu les distances à parcourir, et l’interdiction d’emprunter un quelconque véhicule, s’il vous plaît ! ça ne m’étonnerait pas que les dirigeants du Fan Club possèdent des intérêts dans les Transports Parisiens. D’ailleurs, eux-mêmes avaient des vélos et même un scooter, les hypocrites !
Heureusement, il y avait la pause déjeuner. Comme l’an passé (bonjour l’imagination !), au Parc de Bercy, face au grand escalier. Un jeu de mimes interprété par les équipes, même pas payées au tarif syndical (que fait Arlette ?), a précédé la reprise des hostilités, qui se sont poursuivi tout l’après-midi dans un épuisant marathon à travers différents quartiers de Paris. Ce n’est qu’à partir de 19 heures que les concurrents, évidemment au bout du rouleau, se sont regroupés avec les organisateurs au Jardin Atlantique, lieu infiniment poétique entre quatre tours, implanté sur une dalle de béton au-dessus d’une gare. Charmant ! C’est là que les résultats ont été proclamés par Franck, président inamovible sans doute élu à la soviétique, sous les ovations des concurrents trop épuisés pour se révolter.

Ah ! J’vous jure, on ne m’y reprendra pas ! L’an prochain, c’est sûr, ils nous expédient en Tchétchénie.

Par David Murat , Jean-Pierre M.
Par l’équipe 4 du Week-End Friends 2001
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