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10 ans de Friends, l'encyclopédie exhaustive de la série culte. 466 pages.
   
 
Les équipes

Gagnant : Equipe 1
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Equipe 6 à pied
Potins de Christian
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    Journal de bord Equipe 1

Oh my God! (version Rachel, thanks...)
Celui où qu’ils se présentent...
Celui qui se lève tôt...
Celui qui fait la chasse à 4 à 5...
Celui qui mange...
Celui qui faisait comme s’il qui connaisait tout Friends...
Ceux qui cherchent midi à quatorze heures
Ceux qui courent plus vite qu’ils ne réfléchissent
Celui qui renseigne les autres malgré lui
Ceux qui prennent les bons transports en commun et qui gagnent...
Celui qui ne regrette pas l’absence des filles du Fan Club...
Celui qui remercie quand même
Celui qui était très content de l’équipe

Oh my God! (version Rachel, thanks...)

Voici le Best of de la chasse au trésor vue par l’équipe n°1, en d’autres termes la meilleure puisque nous sommes arrivés en tête de ce long périple à travers les rues tortueuses (nos pieds s’en souviennent encore) de la Capitale. Disons-le, nous avons franchi les pires obstacles, déjoué les pires pièges tendus par nos adversaires, mais non moins amis.

En fait, pour être à la mode, il va s’agir là d’un remix de nos 5 textes qui ne devraient pas trop se mordre la queue.

Celui où qu’ils se présentent...

Qui est l’équipe n°1 ? C’est certainement la plus futée, la plus audacieuse... et la plus modeste d’entre toutes ! Sérieusement, nous sommes avant tout 5 jeunes étudiants (ou assimilés...), branchés, pas tout à fait adultes, mais plus tout à fait ados, et, le plus important, des vrais friends (on attend les apparts pour bientôt...).

Celui qui se lève tôt...

Il est 6h30, nous sommes samedi et j’ai les yeux ouverts. (ça, ça se lit mo-ti-va-tion). Quel paradoxe pour une journée qui se profile comme passionnante et difficile !

Après un léger petit déj, le métro nous accueille joyeusement, et c’est avec grand plaisir que nous retrouvons 2 de nos "friends" sur le quai. Gaiement, nous rejoignons notre dernier "friends" (LE célibataire de la bande !!! Le message est passé...) au point de RDV du jeu de piste. La journée s’annonce belle, le soleil est présent et une douce brise effleure nos corps à peine sortis de nos petites couettes douillettes.

Ca va aussi être pour nous une des rares occas’ pour se retrouver depuis la fin des exams.

Celui qui fait la chasse à 4 à 5...

Le départ est donné : c’est avec enthousiasme et sérénité que nous répondons aux 2 premières questions (après une dizaine d’essais, nous trouvons finalement que le nombre de pas qui séparent le "Central Perk" de l’appartement des garçons est de 93 !!!).

Au cours des 2 premières énigmes, étaient côtes-à-côtes l’équipe n°4 et la n°1 (c’est nous) : une lutte sanglante que je ne pourrais vous décrire dans un souci de dignité s’ensuivit. Finalement, réussissant à semer l’équipe n°4, nous allons jusqu’à prendre le temps de faire quelques courses et rejoignons les Buttes Chaumont, afin de faire ripaille en compagnie de nos compères et néanmoins adversaires (sachant bien que nous ne connaissions pas la fameuse équipe n°4 avant cette chasse au trésor).

Cette confrontation terrible a été marquée par des délectations. Quel bonheur d’arriver Rue Vandamme en 2e, en partir 1er avec la réponse (dur dur Monsieur Marcel) tout en voyant les n°4 sécher... Mais quelle angoisse de les voir arriver avant nous à Etienne Marcel !

Et ces parties de cache-cache dans les couloirs cafardeux du métro poli teint...

Nous repartons un poil derrière eux de la Pitié (1 wagon de métro plus loin). Nous avions la réponse mais ne voulions pas nous faire distancer. Eux ont pensé qu’on les suivait. Que nenni ! En voulant nous faire la belle (c’est Rapée), ils nous ont permis d’arriver prem’s à la porte verte de l’allée green !

Mais ils nous ont fait peur pour le reste de la journée quand nous apprîmes qu’ils étaient arrivés bien premiers aux Buttes Chaumont (Oui, même si nous nous arrêtâmes pour la boustifaille...)

Celui qui mange...

Pendant le repas, de multiples tentatives de déstabilisation et de déconcentration ont été esquissé sur toute l’équipe, mais à l’instar de Joey devant une encyclopédie, nous sommes restés stoïques et indifférents. En effet, étant déjà en position de leaders, il nous fallait maintenir un certain standing et une dignité à toute épreuve !

Celui qui faisait comme si qu’il connaissait tout Friends...

Certaines énigmes matinales nous ont causé pas mal de désagréments...

Ceux qui cherchent midi à quatorze heures

L’après-midi de fous commence. Les deux premières énigmes ne posèrent pas trop de problèmes et nous dirigent vers la rue de Darwin. Jusque là nous étions encore en tête.

L’énigme posée, rue du pote à Ross, nous faisait chercher une avenue parisienne en rapport avec le prénom d’un personnage féminin de Friends. Rachel, Monica et Phoebe nous semblant trop évident, on se mit à chercher toutes les avenues de Paris qui portaient un prénom de femme sur nos plans-guides (c’est là qu’on voit qu’il y a énormément d’avenues à Paris!). De son côté, Régis épluchait toute sa documentation Friendesque afin de trouver l’épisode mentionné dans l’énigme et le prénom de cette femme mystérieuse... Mais le temps n’était vraisemblablement pas figé pour tout le monde ! C’est alors qu’on vit une première équipe nous rejoindre, lire l’énigme et repartir aussitôt en criant: "je sais...". puis une seconde équipe passa , lut l’énigme et repartit aussitôt en criant "je sais...".

Ce début en catastrophe offre à l’équipe un moral qui n’était provisoirement plus au beau fixe. Mais c’est avec brio et honneur que nous nous sommes sortis du guêpier de la 2ème épreuve de l’après-midi.

Pour nous en tirer, nous avons quelque peu escorté avec gentillesse et dévouement une équipe concurrente. (Bienveillance dont nous ne fûmes pas remerciés d’ailleurs !!!).

A ce moment très précis, notre stoïcisme était toujours présent (mais bien caché...), un flegme inébranlable parcourait nos visages, et c’est encore une fois avec brio (décidément, il fut souvent là celui-là !) que nous sommes parvenus à gagner.

Mais à la sortie du métro Blanche, on perd de vue l’équipe qui prenait la fuite à toutes jambes. Nous ne savions pas ce que nous cherchions mais heureusement pour nous, un plan du quartier trônait à la sotie du métro et au milieu de ce plan, la fameuse et néanmoins minuscule avenue Rachel nous sauta aux yeux. Comment avait-on pu être aussi bêtes !

Ceux qui courent plus vite qu’ils ne réfléchissent

Nous partîmes cinq en sprintant et nous arrivâmes trois (les garçons) pour lire l’énigme. Et oui, les filles, courant beaucoup moins vite, étaient au bord de la crise cardiaque! Elles n’eurent d’ailleurs pas le temps d’arriver et de lire l’énigme que nous repartions déjà en courant dans le sens opposé. Il fallait trouver une rue, portant le nom d’une proche station de métro et qui rappelait l’endroit où Pete avait invité Monica à dîner.

Ce n’est pas fini. De nouvelles péripéties dues à la précipitation de certains mâles de l’équipe que le secret d’Etat m’interdit de nommer (merci David et Régis) nous permettent de nous retrouvés 4ème !!!

Voilà donc les garçons, courant comme des dératés vers la rue Blanche (à côté du métro Blanche), à la recherche d’une troquet, ayant un nom comme "Chez les amis" (D’ailleurs, ça disait quelque chose à une commerçante de quartier). Les filles, à bout de souffle mais plus fines, comprennent vite qu’il s’agit de la rue de Rome (à côté du métro Rome, ben oui...), dès qu’on a bien voulu leur "réciter" l’énigme en détail (il est vrai que jusqu’à présent elles n’étaient pas vraiment au courant de tout parce qu’elles ne couraient pas assez vite !!!).

Et tranquillement, se disant que la course pour la victoire était perdue, nous nous mîmes en marche en direction de la rue de Rome pour finir l’épreuve pour la gloire.

Celui qui renseigne les autres malgré lui

Après avoir récupéré deux énigmes dans la rue de Rome, non sans mal, nous nous sommes dirigés tranquillement vers la rue de Londres à la recherche de l’énigme suivante. Le commerçant chez qui l’affichette a été collée nous confie que nous sommes la quatrième équipe à passer, ce qui confirma l’importance du retard que nous avions pris. Là, nous rencontrons l’équipe que nous avions suivie pour découvrir l’avenue Rachel et qui était à son tour bloquée. C’est alors que Régis, en pleine réflexion eut l’illumination et s’exclama (bien fort pour que tout le monde en profite...)  : "Ben c’est Rembrandt !!!"

L’illumination profita bien entendu à nos adversaires qui détalèrent comme des lapins, la solution en tête pendant que nous restions là pour donner nos impressions à la caméra. Tout n’était pas perdu mais bien mal engagé !

On ne nous y reprendrait pas. D’ailleurs, désolé, à l’équipe de Ponant D (au final, ils avaient beau nous demander qui avait quoi c’était la pomme, on a rien dit, et tac !

Ceux qui prennent les bons transports en commun et qui gagnent...

Nous avions pris tranquillement un bus qui nous a conduit à quelques mètres de la rue Rembrandt où "Oh, surprise", nous tombons nez à nez avec les deux premières équipes sur qui nous avions du retard. Eux avaient pris le métro alors qu’il y avait 10 000 correspondances. Sur place la nouvelle énigme nous renvoie vers la rue Leblanc et plus précisément vers un bâtiment qui s’appelle Le Ponant. Coup de Bol, Régis possède le seul plan sur lequel figure le fameux Ponant ce qui nous permet de voir qu’on a tout intérêt à prendre le RER pour arriver plus près de la prochaine affichette. Celle-ci était en fait celle de la dernière énigme et ne nous posa aucun problème. Nous avons donc pu repartir comme nous étions venus, en RER, et ce bon choix dans les transports nous permit non seulement de rattraper notre retard mais aussi de dépasser d’au moins dix minutes les équipes concurrentes. Nous pûmes donc arriver triomphalement sur la passerelle Debilly (la ligne d’arrivée) face à une foule déchaînée composée uniquement du Gentil Organisateur Chef Franck de l’épreuve. S’il y a une morale à tirer de toute cette histoire c’est que " Rien ne sert de courir, il faut partir à point" (elle n’est pas de nous, celle-là ....)

Celui qui ne regrette pas l’absence des filles du Fan Club...

A la fin de la chasse, nous étions heureux que les énigmes proposées par ces demoiselles du fanfr ne fusses pas retenues : difficiles, détournées, piégeuses, féminines quoi !

Celui qui remercie quand même...

Nous tenons à féliciter, à remercier les personnes qui ont participé à ce super jeu de piste, convivial et rafraîchissant, mais surtout ceux qui l’ont mis en place en faisant preuve de bonne humeur et de créativité.

Celui qui était très content de l’équipe...

Cette journée nous a permis de lier connaissance avec de nouvelles personnes mais a également contribuer à nous connaître davantage. Nous nous sommes révélés complémentaires pour atteindre la Troisième Saison en VO.

Avec une Rose entre les dents, nous sommes ready to go back et notre cœur continuera de battre (mais c’est une autre histoire !)

Par les participants de l\'Equipe 1
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